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Bertrand Delanoë : «Fillon agit comme un opposant politique local »

16 janvier 2012

« sa vision de la ville et ses méthodes politiques sont celles d’un autre temps »

L’interview de Bertrand Delanoë au Parisien lundi 16 janvier

2 commentaires à “Bertrand Delanoë : «Fillon agit comme un opposant politique local »”

  1. maillet guillaume dit :

    concernant la circulation des deux roues dans les voies de bus à Paris, l’argument principal de la Mairie de Paris contre cette mesure est aberrant:
    la cohabitation avec les bus serait soi-disant trop compliquée!!!
    quand on sait que les bus parviennent à cohabiter sans problème avec les taxis (et les vélos) qui sont tout de même plus encombrants qu’un deux roues, quel qu’il soit, l’argument semble bien piètre.
    pourtant, par cette mesure:

    cela permettrait de désengorger les rues de la ville la plus embouteillée d’Europe
    cela diminuerait le risque d’accident entre deux roues et voitures dans des rues rendues trop étroites par les voies de bus
    une augmentation du nombre de deux roues provoquerait mécaniquement une diminution du nombre de voitures et abaisserait ainsi la pollution, car les deux roues occupent moins longtemps la chaussée en arrivant plus vite à destination et en tournant moins longtemps pour se garer (une voiture sur 10 circulant à Paris cherche une place de stationnement!).

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  2. Mécheri dit :

    Je suis de ceux qui pensent à tort ou à raison que rien ne justifie les actes de délinquance. Néanmoins, comment ne pas être indigné, lorsque l’on voit « des procureurs » censés défendre l’intérêt général, s’acharnés sur de pauvres gens ayant commis des délits mineurs, alors que ces mêmes procureurs ont simultanément la plus grande clémence pour une poignée « d’élites », qui devraient justement avoir à coeur de montrer l’exemple, lorsqu’ils bafouent sans vergogne nos valeurs ! Je vise ici, les enrichissements personnels, pour des montants importants. A titre d’exemple, pour ne citer qu’elles, les affaires Gautier-sauvagnac, exécutive life, le baron seillières, pour lequel il y aurait prescription fiscale ( bravo l’administration et / ou les connivences politiques , l’affaire d’initiés visant certains dirigeants du groupe Lagardère. Là, encore Bravo l’AMF !
    Et, puis, très curieusement, qu’en bien il y aurait poursuites judiciaires, il est effrayant d’entendre dire pour notre démocratie, que les réquisitions se limiteraient à 1/100 ième des faits commis. La messe étant dite, poursuivant, notre vénérée Justice – dans sa grande bonté – les condamne au pire à une symbolique amende, lorsqu’elle ne conclue pas purement et simplement à une relaxe !
    C’est bien cette Injustice là, qui est bien souvent la principale cause de la frustration et parfois des haines, que l’on voient surgir ici ou là !
    Et, par pudeur, je ne m’étendrais pas sur « nos patrons du Cac40″, qui sans aucune vergogne s’approprient des rémunérations ahurissantes et injustifiées, alors même que la capitalisation des Groupes dont ils ont la responsabilité dévissent, sans discontinuer depuis plus de 3 ans. D’où, des attributions d’actions gratuites venues se substituées aux stock-options, ajoutés à leur fixe et variable atteignant en moyenne 4,7 millions d’euros ( sic ). Bien que celà soit contraire à la morale et à l’intérêt social, nombreux sont ceux qui sont verts de rage, y compris des gens de droite …Mais, déterminisme de l’éducation oblige, personne n’osent réellement avoir le courage de les interpeler frontalement. Et, pourtant, un conseiller à la chambre commerciale de la Cour de cassation me confirmait que de telles pratiques étaient contraire à l’intérêt social, car 1°. comment peut-on conduire une stratégie à moyen terme, lorsqu’en une année, on gagne de quoi faire vivre 20 générations ? 2°. Comment fédérer 100 à 200000 personnes, lorsque les membres du Comex gagnent plus de 50 fois que d’autres cadres dirigeants, qui ont bien souvent les mêmes diplômes et qui ont parfois suivis le même parcours ?
    Enfin et par décence, je n’évoquerais pas, ici, les conventions réglementées bien souvent passées à la trappe, les écarts d’évaluation ( pompeusement dénommés goodwill , qui permettent de maquiller les bilans sur les incorporels ou encore les politiques de prix de transfert, qui permettent de délocaliser les bénéfices …

    Et, puisqu’il faut toujours conclure de manière optimiste, heureusement qu’il y a encore des Hommes capables de se lever. Et, pas seulement le Grand Monsieur Hessel, mais bien d’autres « petites mains » et grand coeur, dont le Président de la 17ième chambre correctionnelle de Paris, qu’on a toujours plaisir de voir et d’entendre.
    Pardon, car je ne sais qu’elle mouche m’a piqué, mais, aujourd’hui, j’avais une envie irrésistible de m’indigner !
    Bien Cordialement

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